Willy Meyer, député de la GUE/NGL au Parlement européen, se rend au Honduras afin d'évaluer la situation

Publié le par Marie-Christine Vergiat

Willy Meyer, député de la Gauche unitaire européenne/ Gauche verte nordique au Parlement européen, se rend au Honduras afin d'évaluer la situation
 
Bruxelles, le 1 juillet 2009
 
Le groupe parlementaire de la Gauche unitaire européenne / Gauche verte nordique a décidé d'envoyer le député Willy Meyer au Honduras afin d'évaluer la situation après le coup d'état récent.
 
Meyer arrivera ce jeudi 2 juillet, le même jour que le retour prévu du Président Zelaya, et il rencontrera des représentants des organisations sociales et politiques afin d'évaluer la situation après le coup d'état.
 
 
Willy Meyer est le rapporteur du Parlement européen pour l'accord d'association entre l'Union européenne et l'Amérique centrale, qui est actuellement en négociation. Pendant sa visite il recueillera directement les informations afin d'informer le Parlement européen sur la situation au Honduras concernant l'accord d'association.
 
Comme vice-président de l'Assemblée Parlementaire Euro-Latino Américaine (EUROLAT), il informera ses collègues parlementaires sur sa visite à ce pays d'Amérique centrale à son retour.
 
GUE/NGL Press Gianfranco Battistini +32 475 64 66 28 Gay Kavanagh + 32 473 842 320 www.guengl.eu  
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M
Je ne suis pas sure que cette lettre me soit adressée ni que je sois la mieux à même pour y répondre.<br /> Je dirai quand même tout simplement que la démarche du Front de gauche est lancée et que tous ceux qui y croient doivent poursuivre la démarche d'élargissement en vers tous ceux qui croient qu'il est possible de construire une vraie alternative à gauche. Cela n'est pas toujours facile. Il peut y avoir des tiraillements, des tensions, voire des jeux personnels mais là n'est pas l'essentiel.Les régionales arrivent sans doute trop tôt et je crois pour ma part qu'il est trop tôt ppur se prononcer. Laissons les choses se construire et ne nous laissons pas prendre aux petits jeux médiatiques. Je ne doute pas que là encore nous y arriverons. Amitiés. Marie Christine
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R
Lettre ouvertes à tous mes camarades du PCF<br /> <br /> Je suis du PCF, ni rouge, ni unitaire, ni libertaire, de Marseille,n'ayant pas de réponse locale je m'adresse directement à vous tous :répondez nous directement sur un site car nous avons des problème d'adresse électronique.<br /> <br /> Le PG à qui nous avons mis le pied à l'étrier est en train de nous tromper avec le NPA !<br /> <br /> Comment devons nous réagir ?<br /> <br /> Quelles seront nos alliances aux régionales avec des listes contenant des socialistes de droite voire parfois des anciens giscardiens, puisque Aubry ouvre les bras aux humanistes du Modem!<br /> <br /> Réponds nous vite camarade , par sur l'adresse électronique qui ne marche pas bien, mais sur ton site ou sur celui du parti, car l'actualité va vite et ma cellule ne sait plus quoi penser de cela ____________________<br /> Voici la déclaration commune, pour information.<br /> <br /> Mardi, 30 Juin 2009 17:55 La rencontre des délégations du NPA et du Parti de Gauche respectivement conduites par Olivier Besancenot et Jean-Luc Mélenchon qui a eu lieu le 30 juin au siège de ce dernier a donné lieu à la déclaration commune suivante :<br /> <br /> Le NPA et le Parti de Gauche constatent les ravages provoqués par la crise globale du système capitaliste, à la fois économique, sociale et écologique, dans laquelle la politique des classes dirigeantes a plongé le monde. Ils dénoncent la vague de licenciements qui frappe de plein fouet le monde du travail et l’offensive de Nicolas Sarkozy, de la droite et du Medef contre les salariés annoncée lors du Congrès de Versailles et dont la volonté de retarder l’âge du départ à la retraite est un élément phare.<br /> <br /> Face à cette offensive pour faire payer les frais de la crise aux classes populaires, devant l’urgence de la situation, quelques soient par ailleurs les divergences entre les deux formations, le NPA et le Parti de Gauche souhaitent œuvrer à la préparation d’une contre-offensive du monde du travail pour faire valoir ses exigences au premier rang desquels la garantie d’un emploi, l’augmentation des salaires mais aussi tout refus de recul de l’âge de la retraite.<br /> <br /> Sarkozy et la droite se prévalent des résultats des élections européennes pour donner une légitimité leur politique réactionnaire. Pourtant seul un électeur sur dix a donné son suffrage à l’UMP. Il s’agit en réalité moins d’une victoire de la droite que de l’incapacité de la gauche à lui opposer une véritable alternative. En proposant d’accompagner ce système et en se contentant de remèdes homéopathiques qui ne le remettent pas en cause, cette gauche devient du coup inutile aux yeux du plus grand nombre. C’est ce qui explique la crise profonde des partis de la sociale démocratie en Europe. L’abstention massive des classes populaires et des jeunes - phénomène le plus important de ces élections - illustre cruellement cette tendance de fond. Cette abstention est certes lié au rejet de l’actuelle construction libérale et anti démocratique de l’Europe. Mais aussi au fossé de plus en plus grand entre les aspirations populaires et l’offre de la gauche institutionnelle. Dans une situation où la crise va s’aggraver, il y a là un risque majeur. On ne peut que s’inquiéter de la progression de l’extrême droite. Elle prouve qu’elle peut profiter du désespoir des milieux populaires.<br /> <br /> Les deux partis soulignent également l’ambiguïté du vote Europe Ecologie. Il reflète une prise de conscience salutaire de la crise écologique. C’est décisif ! Mais ses porte-paroles en font aussi une stratégie politique pour dépasser le clivage gauche/droite. Pour nous, on ne peut ignorer le lien étroit entre la logique prédatrice du capitalisme et le désastre environnemental.<br /> <br /> Ils s’accordent pour favoriser l’unité la plus grande contre les projets de la droite et du patronat que ce soit dans le domaine social, écologique, et des droits et des libertés. Le NPA et le Parti de Gauche sont ainsi unis actuellement dans la mobilisation contre l’EPR ou dans le comité national contre la privatisation de La Poste. Mais ils avancent aussi des propositions d’initiatives sur le terrain de la lutte contre les licenciements. Les deux formations estiment aussi indispensable d’unir les forces de gauche et des écologistes qui rejettent la logique du système capitaliste aux élections régionales. Il est urgent de rendre plus crédible une véritable alternative au système.<br /> <br /> Les deux partis constatent que les propositions issues de leurs instances nationales respectives sont suffisamment proches pour leur permettre d’avancer dans cette voie unitaire pour les élections régionales. En conséquence, ils se prononcent au premier tour des régionales pour un accord national pour les 21 régions hexagonales sur des listes associant les forces qui composent aujourd’hui le Front de Gauche comme le PCF et le Parti de Gauche et le NPA, LO, Alternatifs, Alterekolo et les autres courants qui sont dans la Fédération, militant-e-s de quartiers ou du mouvement social. Le NPA les nomme « forces anticapitalistes », et le PG « l’autre gauche ». Ces listes seraient porteuses des exigences des classes populaires, d’un programme d’urgence en rupture avec la logique capitaliste et le productivisme pour les régions. Elles seront autonomes et indépendantes du PS et des listes de type Europe Ecologie.<br /> <br /> Au second tour, les listes soutenues par le Parti de Gauche et le NPA se battront pour faire gagner la gauche et empêcher que des régions basculent à droite. Pour cela, les deux organisations se prononcent d’ores et déjà pour des fusions « techniques » ou « démocratiques » des listes de gauche à l’exception de tout accord incluant le Modem.<br /> <br /> Pour le NPA, au sein de l’institution, les élus de ces listes conserveront leur liberté totale de vote et refuseront d’accepter des mesures et des budgets défavorables aux travailleurs et à la population.<br /> <br /> Il subsiste évidemment au stade de cette première rencontre des questions à régler.<br /> <br /> Pour le Parti de Gauche, l’ambition est d’être en situation d’appliquer le programme de ces listes dans le nombre le plus important possible de régions. Le plus sûr moyen d’imposer ce rapport de force consiste à placer ces listes en tête des listes de gauche au soir du premier tour.<br /> <br /> Pour le NPA, les élus refuseront de contracter des accords de gestion avec les dirigeants du PS et d’Europe Ecologie. En effet, le NPA constate que les majorités de gauche ayant géré les régions depuis 6 ans n’ont pas mené de politique visant à satisfaire les besoins de la population et à répondre aux exigences écologiques. Elles ont pris des mesures qui leur étaient défavorables, par exemple des subventions accordées à des entreprises qui licencient.<br /> <br /> A ce stade, les deux partis estiment que ces différences n’empêchent pas de poursuivre le processus entamé aujourd’hui. Au contraire, les deux partis estiment que leur rencontre aujourd’hui contribue à renforcer une dynamique positive et s’en félicitent. Un rassemblement aussi ambitieux est possible, il peut changer bien des choses. Pour le rendre toujours plus crédible, le Parti de Gauche et le NPA vont poursuivre leurs contacts, et s’invitent d’ores et déjà à leurs rendez-vous de l’été. Ils proposent également à tous les partenaires pressentis un groupe de travail commun pour commencer à avancer sur le contenu de ce que pourrait être le programme d’un tel rassemblement pour les régionales.<br /> <br /> Paris, le 30 juin.<br /> <br /> Pour le NPA : Pierre Baton, Olivier Besancenot, Frédéric Borras, Pierre François Grond, Ingrid Hayes, Guillaume Liégard, Danielle Obono<br /> <br /> Pour le Parti de Gauche : Jean Luc Mélenchon, Gabriel Amard, Eric Coquerel, François Delapierre, Audrey Galland, Raquel Garrido, Pascale le Neouannic, Corinne Morel Darleux<br /> <br /> <br /> Mélenchon juge "vraisemblable" une alliance PCF-PG-NPA aux régionales 30.06.09 | 12h44 Selon "Le Monde"<br /> <br /> Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche) a jugé mardi "vraisemblable" la constitution de "listes communes autonomes" de son parti avec le PCF et le NPA aux régionales de mars 2010, à quelques heures d’une rencontre avec Olivier Besancenot (NPA), parti seul aux européennes.<br /> <br /> "Dans la rencontre que nous allons avoir, nous allons avancer et je vous annonce qu’il est vraisemblable qu’il y ait des listes communes autonomes au premier tour du Parti communiste, du NPA, du Parti de gauche et de nos autres alliés" aux régionales, a indiqué, sur France Inter, M. Mélenchon qui quittera ses fonctions de sénateur de l’Essonne pour siéger à Strasbourg à partir du 14 juillet.<br /> <br /> Pour le nouvel eurodéputé, élu dans le Sud-Ouest le 7 juin à la tête de la liste Front de gauche PCF-PG, "la leçon des élections européennes, c’est que si +l’autre gauche+ s’était rassemblée, c’est nous qui occuperions la quatrième place, on aurait fait un peu plus de 10%, on aurait eu 12 députés (...) on aurait envoyé au tapis (Jean-Marie) Le Pen".<br /> <br /> Pour les européennes, le NPA, qui n’a obtenu aucun eurodéputé et dit ne pas regretter sa stratégie, a refusé de rejoindre le Front de gauche (4 eurodéputés), jugeant que le PCF s’allierait au PS dès les régionales pour "sauver les élus communistes".<br /> <br /> "S’il y a accord d’indépendance par rapport au PS aux régionales, on dira banco" à l’alliance, a assuré Pierre-François Grond (NPA), interrogé par l’AFP.<br /> <br /> "S’il y a confusion ou politique à géométrie variable et pas d’accord national, s’il y a une politiqu
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